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Les accessoires obligatoires et interdits à moto ou à vélo

Que ce soit à moto ou à vélo, les accessoires jouent un rôle crucial dans la sécurité du conducteur et des autres usagers de la route, c’est d’ailleurs le cœur de métier de Marko Helmets. En France, la réglementation impose certains équipements obligatoires, tandis que d’autres sont formellement interdits. Voici un tour d’horizon des règles à respecter pour rouler en toute sécurité et en conformité avec la loi française.

1. Les accessoires obligatoires à moto

Conduire une moto implique de respecter des règles de sécurité strictes. Parmi les équipements obligatoires, on retrouve :

– Le casque homologué : Le port du casque est obligatoire pour le conducteur et le passager. Il doit être homologué et correctement attaché. Un casque non homologué ou mal attaché expose à une amende et à une perte de points sur le permis.

– Les gants homologués : Les gants certifiés CE sont obligatoires pour le conducteur et son passager. Ils doivent être résistants aux abrasions pour protéger efficacement en cas de chute.

– Le gilet de haute visibilité : Le gilet jaune (ou d’une autre couleur vive) est obligatoire, mais seulement en cas d’arrêt d’urgence. Il doit être porté lorsque le conducteur quitte la moto sur la chaussée ou sur l’accotement.

– Les feux et catadioptres : Les motos doivent être équipées de feux avant et arrière en état de marche ainsi que de catadioptres sur les côtés et à l’arrière. Ces dispositifs sont essentiels pour être bien visible, notamment de nuit.

2. Les accessoires obligatoires à vélo

Pour les cyclistes, la sécurité est également encadrée par la loi. Les équipements suivants sont donc obligatoires :

– Le casque (pour les enfants de moins de 12 ans) : Le port du casque est obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans, qu’ils soient conducteurs ou passagers. Ce casque doit être attaché et homologué. Les adultes n’ont pas cette obligation en France même s’il est préférable de porter un casque pour votre sécurité en cas de chute ou de collision. 

– L’éclairage : Un vélo doit être équipé de feux avant et arrière en état de marche, ainsi que de catadioptres (réflecteurs) sur les roues et les pédales. Ces éléments sont indispensables pour assurer la visibilité, surtout la nuit ou par faible luminosité.

– Le gilet de haute visibilité : Comme pour les motards, le gilet jaune est obligatoire pour les cyclistes hors agglomération, de nuit ou lorsque la visibilité est insuffisante.

– Le signal sonore : Un avertisseur sonore tel qu’une sonnette est obligatoire sur un vélo. Il doit être audible à au moins 50 mètres.

3. Les accessoires interdits à moto et à vélo

Certaines pratiques et accessoires sont strictement interdits par la loi en France, à moto comme à vélo :

– Les écouteurs et casques audio : Il est interdit de porter des écouteurs ou un casque audio à moto et à vélo, car cela diminue l’attention et la perception des bruits environnants. Cette interdiction concerne également les dispositifs d’oreillette utilisés pour les téléphones.

– Les feux clignotants non homologués : Les feux additionnels ou clignotants non homologués sont interdits. Ils peuvent éblouir les autres conducteurs ou être confondus avec d’autres signaux, créant ainsi un risque d’accident encore plus à moto.

– Les objets dangereux et non Fixés : Il est interdit de transporter des objets dangereux ou mal fixés sur une moto ou un vélo, car ils peuvent nuire à la stabilité du véhicule ou se transformer en projectiles en cas de chute.

4. Les accessoires recommandés

Au-delà des obligations légales, certains accessoires sont fortement recommandés pour augmenter la sécurité :

– À moto : Les blousons renforcés, les pantalons et bottes de protection, ainsi que les dorsales sont des équipements qui, bien que non obligatoires, offrent une protection supplémentaire en cas de chute et qui peuvent ainsi vous sauver la vie.

– À vélo : Un rétroviseur et un bon cadenas sont des éléments qui, bien que facultatifs, contribuent à une conduite plus sûre et à la protection contre le vol.

Pour conclure, le non-respect de ces obligations peut entraîner des sanctions : amendes, retrait de points sur le permis de conduire (pour les motards), voire l’immobilisation du véhicule. Par ailleurs, en cas d’accident, l’absence d’équipement obligatoire peut limiter les indemnisations par les assurances.

Respecter les obligations en matière d’équipements à moto et à vélo est non seulement une question de conformité légale, mais surtout une question de sécurité. Les accessoires obligatoires visent à protéger les usagers, tandis que les interdictions sont destinées à éviter des comportements à risque. En complément, l’ajout d’équipements recommandés peut faire la différence en cas d’imprévu. Rouler en toute sécurité, c’est avant tout anticiper et respecter ces règles essentielles.

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Comment bien choisir son assurance et sa moto de collection ?

Vous souhaitez vous lancer dans la collection de motos anciennes ? Ou plus simplement rouler vintage ? Du Solex 45 cm3 aux gros cubes V Twin Harley Davidson et autres Ducati Monster, voici quelques conseils pour entretenir votre machine et choisir l’assurance qui convient le mieux ainsi que sa moto !

L’importance d’assurer sa moto, son scooter et ses deux roues de collection

Même si votre véhicule roule peu ou pas du tout, l’assurance Responsabilité Civile étant obligatoire, les motos et scooters de collection doivent être assurés. Ces mécaniques étant souvent rares, avec des coûts de réparation élevés, il vaut mieux choisir une assurance spécialisée en anciennes comme TEA Cerede. Il est le premier assureur spécialisé dans les voitures et motos de collection depuis 1960. Ce véritable pionnier du secteur assure 20 000 véhicules, à deux et quatre roues, dont les plus grands collectionneurs de motos et scooters anciens. 

Les conditions pour assurer son véhicule de collection :

Il existe des conditions variables selon l’offre d’assurance. Une moto, un scooter et autre deux roues de collection, doit généralement remplir les critères suivants :

  • Avoir été construit ou immatriculé pour la première fois il y a au moins 30 ans, et seulement 25 ans, chez TEA Cerede.
  • Carte grise de collection non obligatoire
  • Pour tous les conducteurs à partir de 19 ans ou 1 an de permis
  • Pour les usages loisir, Promenade et Circuit
  • Être assuré sur un véhicule d’usage habituel
  • Ne pas être en situation de Malus
  • Avoir déclaré au maximum 3 sinistres dont 1 responsable
  • Ne pas avoir déclaré de sinistre corporel

Si votre moto respecte ces conditions, vous pouvez la faire passer en collection en faisant une demande à la Fédération française des véhicules d’époque (FFVE).

Aussi, chez notre partenaire, les contrats deux roues de plus de 25 ans peuvent être intégrés dans les contrats flotte qui réunissent tous les types de véhicules anciens, dans un même contrat. Être chez TEA Cerede, c’est aussi bénéficier d’un réseau de spécialistes de la mécanique ancienne et profiter d’offres exclusives grâce au club TEA Vantage dont Marko Helmets fait partie.

Quelques conseils pour entretenir votre deux-roues vintage :

Parce que même bien assurée, de petits gestes peuvent éviter des problèmes mécaniques.

  1. Changement d’huile : l’huile est le sang de la moto. Veillez à changer l’huile régulièrement pour maintenir le moteur en bonne santé.
  2. Système de carburant : nettoyez les carburateurs, remplacez les filtres à carburant et assurez-vous que le système de carburant est en bon état.
  3. Vérification des freins : contrôlez régulièrement les freins, surtout si la moto a été stockée pendant un certain temps, ainsi que le liquide des freins. 
  4. Système électrique : vérifiez les connexions électriques, les ampoules et les fusibles.
  5. Pneus : inspectez l’état des pneus et remplacez-les si nécessaire.
  6. Stockage: rangez votre moto dans un endroit sec et à l’abri de l’humidité.

Comment bien choisir sa moto classique ?

Pour commencer vous devez vous poser la question suivante : est-ce que je souhaite en acheter une à restaurer un peu, beaucoup ou totalement ? Ce critère va ainsi vous orienter sur le budget et les compétences à envisager. Si vous n’êtes pas bricoleur, il vaut mieux prendre une moto déjà restaurée ou d’origine non modifiée, propre et en état d’usage avec laquelle on peut conduire tous les jours. Les prix seront plus élevés lorsqu’elles sont restaurées dès le début, mais vous vous couvrez de mauvaises surprises. Il vaut mieux payer plus au départ pour que les restaurations soient moindres derrière. A la fin, vous serez gagnant. Si vous vous lancez dans une restauration de taille, il faut de réelles compétences, du temps et du budget. Il est satisfaisant d’avoir réalisé la restauration de sa 2 roues soi-même, mais le budget peut être explosif car des « petits riens » comme un alternateur, auquel on ne s’attend pas, vont s’accumuler, jusqu’à atteindre une somme importante. On peut aussi, où en plus, être bloqué par un manque de compétences. Donc il vaut mieux être sûr de soi avant de se lancer !